Modalités du parrainage collectif
En devenant marraine ou parrain solidaire d'un groupe d'enfants, vous recevrez un dossier de présentation de la structure où évoluent vos filleuls. Il contiendra des photos des enfants, une description du centre, de l'école ou du foyer qui les héberge ainsi qu'un historique des dernières nouvelles.
Par la suite, tous les quatre mois environ, nous vous enverrons des nouvelles de vos filleuls et de leur structure d'accueil.
Selon le cas, de nouvelles photos, un compte-rendu d'activité, une lettre du responsable, le dessin d'un enfant ou le témoignage d'un visiteur y seront joints.
Courrier, cadeaux et visites aux filleuls
Vous pouvez bien entendu envoyer un courrier aux enfants, cela leur fera grand plaisir. Vous pouvez y joindre de menus objets tels que des cartes postales, des mini-livres, des petits coloriages, des images, des autocollants ou toute autre chose tenant dans une enveloppe plate format 170 X 230.
Si vous souhaitez leur envoyer un cadeau, plutôt que de nous faire parvenir un colis préparé par vos soins, nous vous conseillons d'utiliser le service de cadeaux en ligne prévu à cet effet. Dans l'esprit du commerce solidaire, il permet de choisir dans une liste spécialement adaptée les cadeaux que vous souhaitez offrir aux enfants et qui seront achetés sur place.
Rendre visite à vos filleuls est une chose tout à fait possible dans certains pays mais fortement déconseillée dans d'autres, en raison notamment de leur climat politique et social trop tendu qui rendrait votre voyage dangereux.
En Equateur, par exemple, l'équipe de la Puerta al Corazón sera ravie de vous accueillir et pourra vous héberger dans son auberge fonctionnant dans la lignée du tourisme solidaire.
De la même manière, des formules de trekking au Népal sont proposées par Couleurs Himalaya aux parrains de l'école de la vallée de Panzang pour visiter cette vallée et rencontrer les enfants.
Par contre, il ne faut pas espérer pénétrer dans le bidonville de Cité-Soleil si vous parrainez les enfants de l'Ecole St Alphonse en Haïti, l'insécurité y est si grande qu'une telle visite est inenvisageable actuellement.
Et si une visite aux enfants des rues à Kinshasa est tout à fait possible en RD du Congo, il vaut mieux ne pas monter jusqu'à Goma pour rencontrer les enfants soldats, la guerre civile continuant à faire rage au Nord Kivu.
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